1. |
Le Clocher résonne
03:28
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Comme une barre
Qui sommeille profondément
Au creux de mon diaphragme
Atterré comprimé
Le jour est tombé
Nouvel ordre
Tu parles
Les jours passent et encore
La même
La même la même histoire
Quand les autres vont vite
J’accuse mon retard
Du temps
Quand à ma fenêtre
Le clocher le clocher résonne
Et grossit ma boule au ventre
S’il vous plaît que tout vienne à point
Les nerfs lâchent
Comme des montagnes russes
L’humeur
Se manifeste par la bascule du corps
D’avant en arrière
M’impatiente
Frustrée
Les images défilent
Mon té, mon téléphone a placé la barre du succès
J’accuse mon retard
Du temps
Quand à ma fenêtre
Le clocher le clocher résonne
Et grossit ma boule au ventre
S’il vous plaît que tout vienne à point
Du temps
Quand à ma fenêtre
Le clocher le clocher résonne
Et grossit ma boule au ventre
S’il vous plaît que tout vienne à point
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2. |
Anna
04:44
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Coup d’fil
Sa voix
Tranquille
Comme avant, même effet
Charmant
Charmée
J’croyais
Que les mois passés avaient tout changé
Discussion, « Alors t’en es où ? »
Il parle de son chagrin d’amour
Faut croire qu’il ne m’avait pas encore oubliée
Etrange, comme des vieux amis
Prétendre le détachement de mise
« Raconte, tu as bien connu des filles enchantées. »
« Ah ah, est-ce un sujet qui fâche ?
- Pourquoi, ça devrait me blesser ?
- Ecoute,… »
Elle s’appelle Anna
Tu devrais t’en souvenir
On s’était tant aimés
Et nous voilà repartis
Si j’avais imaginé
Le prénom maudit aujourd’hui revenu à la charge
5, 4, 3, 2, 1 Avant que leur histoire ne glace mon sang
Si je le possédais à distance par la force du souvenir
Pour lui et moi
La fin
Quand l’ennemie revint
Comme si j’avais été la parenthèse pour laisser la place
A Anna
Je disais l’amour de ma vie
Et tu apparaissais
Comme une évidence
Tu es
Aujourd’hui encore
La marque du coeur
Qui aura signé
La fin de la croyance
La première et dernière de l’amour ou innocent (x2)
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3. |
2.0 Sa dernière chance
03:45
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Vague à l’âme tu scroll
Sur les portraits
Des gars en masse
La machine en marche
Robot des sens
Brasse le vide
Tu as bravé la méfiance
Tu cherches encore sa présence
Au jour le jour
Miser encore
Affaires à court
D’évidence
Tu as donné le ton
Ni seule ni d’or
Tu reçois le message
Peut-être lui
Pour l’âme pour l’âme-soeur,
Le rêve encore
Car c’est pour toi comme la dernière chance
Quand le réel a coupé court
A coupé court
Au café d’en bas
Tu lui fais face
L’homme 43
La photo flatteuse
Ce jour a l’air
Ephémère
Tu commences à y voir plus clair
La différence
Encore une fois
Lâcher l’affaire
Rentrer en soi
Peur des chimères
Courir un temps
Puis plus d’élan
Courir un temps
Puis plus d’élan
Tu as donné le ton
Ni seule ni d’or
Tu reçois le message
Peut-être lui
Pour l’âme pour l’âme-soeur,
Le rêve encore
Car c’est pour toi comme la dernière chance
Quand le réel a coupé court
A coupé court
Tu as donné le ton
Tu reçois le message
Pour l’âme pour l’âme-soeur,
Le rêve encore
Car c’est pour toi comme la dernière chance
Quand le réel a coupé court
A coupé court
Tu as choisi ton camp
La foule pour ta solitude
2.0 à l’aide à moi l’amour
Tu regardes l’écran
Le recours de l’imaginaire
Tes fantasmes ici se posent en clair
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4. |
New-York
03:09
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Assise au bureau les jours sont longs
Les murs sont-ils si durs ?
L’ordinateur est ouvert
Les onglets se sont démultipliés
Quand l’esprit est en voyage
M’imagines-tu dans un 9 to 5 ?
T’imagines-tu dans un 9 to 5 ?
Mais quelle barrière ce 9 to 5 !
Sur un tapis volant
Ou à la sueur du front
Next stop, New York (x2)
Next stop, à moi l’eldorado des jours nouveaux
Fasten your belt
Ready, go, fire !
Next stop, New York (x2)
L’ascenseur démarre, le corps sursaute
La liberté s’éprouve
Le souffle du vent suffirait-il
A me porter en décollage ?
Quand les jours ne sont que fixes
M’imagines-tu dans la Big Apple ?
T’imagines-tu dans la Big Apple ?
Mais quelle lumière cette Big Apple !
Sur une fusée éclair
Ou dans les tranchées poussières
Next stop, New York (x2)
Next stop, à moi l’eldorado des jours nouveaux
Fasten your belt
Ready, go, fire !
Next stop, New York (x2)
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5. |
Tête la première
03:50
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Tête la première dans la foule
Elle croyait que ça passait par le bruit, l’euphorie
Comme ça goûter à la vie désarmante
A court de pensée, elle préférait s’attacher aux illuminés
Les yeux fermés, elle dansait
A s’en ôter toute conscience des effets des fumées
Car il n’y a que ça qui compte désormais
Jetée dans le bain de la nuit ensorcelée, au jour les méfaits
Sous ces lumières, ces lumières
Faire fi du reste, fi du reste
Et si dans son expérience
Elle avait tout compris de ne plus rien attendre ?
Au lieu des projections
Elle a choisi l’aérienne
Qu’ainsi éprouver la vie
Donnerait la réponse
Que là dans les bras arc-en-ciel
Elle touche l’essentiel
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Josèphe Paris, France
Premier EP, Le Clocher résonne : riffs électriques et clarinette, ballades et rythmes qui font danser, voix grave-aiguë,
textes sur l'ivresse, la peur du temps et l'envie d'ailleurs
Aujourd’hui, Josèphe est entourée : Alexandre (guitare), Antoine (batterie), Nicolas (clavier) et Victor (basse),
Deuxième EP, C’est la guerre (sortie 2020)
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